Description
On considère ici l’évolution des grandes catégories de l’occupation du sol telles que définies dans la nomenclature ARCHdistinguant les territoires artificialisés, les terres agricoles, les espaces boisés, les espaces de landes, pelouses, pâtures et fauches et les milieux humides proprement dits : les habitats littoraux et halophiles, les milieux aquatiques continentaux et les prairies humides et roselières.
Les zones humides considérées sont les complexes de zones humides tels que définis dans le plan de Parc. Leurs périmètres reprennent ceux des Wateringues du marais Audomarois, le marais de Guînes, de Tardinghen, de la basse vallée de la Slack
part de chaque catégorie de l’occupation du sol dans les zones humides
Contexte / Analyse
Les milieux aquatiques et les zones humides concentrent sur de faibles surfaces la majorité des espèces patrimoniales du territoire. Les pratiques qui y sont réalisées (occupation du sol) peuvent ou favoriser leur expression ou les détruire ; les interventions en zones humides sont règlementées par le DCE et la Loi sur l’eau de 1992 et suivies par la Police de l’Eau.
L’enjeu est fort en zone de marais et sur le réseau des milieux humides et aquatiques, en dehors des espaces déjà protégés. Le Plan de Parc identifie les principaux complexes de zones humides sur le territoire, c’est sur cette base que s’établit le calcul mais il existe également d’autres zones humides sur le territoire.
Résultats
Source : ARCH Conseil Général Nord-Pas de Calais
Fiche mise à jour le : 5 décembre 2017